lalevade d’Ardèche
Ancienne star de l’activité ferroviaire en Ardèche, Lalevade d’Ardèche est un véritable havre de paix où passer votre prochain séjour : les pieds dans l’eau, entre l’Ardèche et la Fontaulière…
Si vous avez l’esprit tranquille, l’envie de vacances ressourçantes ou à proximité de la rivière, Lalevade vous accueillera les bras ouverts pour une expérience de quiétude qui vous donnera envie de revenir…
Ce qui vous attend…
Train train quotidien
Jusqu’en 1982, Lalevade-d’Ardèche était le terminus d’une ligne de chemin de fer venant du Teil et passant par Aubenas : la Ligne Vogüé – Lalevade. Un moyen de transport grandement apprécié des locaux mais alors que le tunnel du Roux s’achève et s’ouvre à la circulation automobile, le service voyageur en train prend fin en 1969.
Pour les mordus d’Histoire…
La ruée vers l’eau
Lalevade tire son nom de l’occitan “levada” équivalent au français «levée». Une levada était à l’origine un barrage de galets, sans ciment, en travers de la rivière. Elle permettait d’amener l’eau vers le «béal» ou la «béalière» (petit canal) qui irriguait les cultures et animait un moulin, un hommage à une ingénierie agricole bien utile, donc !
Cœur de l’industrie
En 1789, Lalevade-d’Ardèche (alors Nièigles) produisait 5 000 tonnes de houille par an et contribuait au développement des industries du Vivarais en tant que fournisseur départemntal principal. Les mines de charbon de Lalevade dont l’origine se trouve dans une enclave de terrain stéphanien (schisto-gréseux) étendu jusqu’à la commune de Prades.
